Réveiller l’inspiration commence avec une introspection poussée. Une cartographie des désirs à l’instant T. Un état des lieux de l’envie, des appétences. On m’invite à regarder en arrière, c’est assez clair. Vers l’avant, c’est le brouillard. Même si je ne distingue rien pour le moment, j’entends, je sens et je ressens. Privée de certitudes, j’aiguise les éventualités.

La première marche
Entreprendre une reconversion professionnelle est un challenge qui chamboule. La première étape consiste à « se connaître » comme le précise le programme que je suis (à savoir « Activ projet » de Pôle Emploi).
Il y a le contact avec la nature, la création manuelle, notamment avec ma petite marque amateur « Marie Marcelle », la lecture, les spectacles… Le mois de janvier m’a permis d’expérimenter à nouveau les choses que j’aimais et de me demander si c’était toujours le cas.
J’ai questionné mon rapport au travail et ai commencé à dresser la liste de mes compétences. Etre curieuse, aimer apprendre et travailler dans divers domaines est à la fois une chance et un piège. Le fameux « couteau suisse ».
Envisager le travail comme un moyen et non une finalité.
Les fleurs de janvier
